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Quid du couple après un enfant ?
On entend souvent dire que certains couples ne se disputaient jamais avant l’arrivée de leur(s) enfant(s). Suggérant donc que les enfants en seraient la cause. Est-ce réellement le cas ?
Si on observe bien, on peut se rendre compte que bon nombre des sujets à l’origine de ces disputes étaient déjà problématiques AVANT l’arrivée d’un enfant. Oui mais voilà, avec un enfant, c’est différent. La patience s’épuise vite. Les priorités changent. Ce qui était tolérable jusque là devient insupportable. Et s’ajoute à cela la fatigue accumulée. Sans parler des émotions intenses et variées qui accompagnent notre quotidien de parents selon ce que traverse notre enfant, on comprend aisément que les tensions sont fréquentes.
Quand on devient parents, notamment lors des premiers mois de vie de l’enfant, avoir du temps pour soi est limité. Et le temps pour le couple l’est encore plus (voire inexistant). On se retrouve souvent dans le triangle infernal où l’on doit choisir entre dormir, prendre du temps pour soi ou prendre du temps pour son couple, et ça, à condition d’avoir pu assouvir tous nos besoins primaires, ce qui n’est parfois même pas le cas !
Bien souvent, le couple n’est pas prioritaire. Parce qu’on verra plus tard. Parce que nous sommes adultes et savons prendre soin de nous alors que bébé est très dépendant et a besoin de nous pour vivre. Parce qu’on n’en a pas envie à cet instant. Parce qu’on est trop fatigué. Parce que notre bébé est au centre de toute notre attention.
Quand on sort de cette phase où bébé est notre priorité absolue et plus rien n’est important autour (en sort-on vraiment un jour ? 😉 ), c’est un peu comme si l’on sortait la tête d’un livre passionnant qui a retenu toute notre attention au point de ne plus voir ni entendre ce qui se passe autour et d’en perdre la notion du temps qui passe. Et là, tout d’un coup, on prend le temps de regarder l’autre, notre conjoint, on observe à nouveau les traits de son visage, ils nous paraissent parfois différents, ses mains plus grandes par rapport à celles de notre tout petit. Et là, on se rend compte que c’est important aussi, que ça nous avait manqué peut-être.
Oui, des disputes il y en peut-être plus depuis l’arrivée de bébé. La communication n’est pas toujours optimale. Peut-être qu’on priorise notre sommeil ou notre temps perso à celui du couple. Peut-être qu’on rebalance tout ce qu’on a contenu devant bébé à notre conjoint parce que c’est Notre figure d’attachement, la personne avec laquelle on se sent suffisamment en confiance pour le faire.
Mais finalement l’important sont ces petits moments où l’on sort la tête de notre livre pour regarder autour. Ce sont ces petits gestes du quotidien qui montrent qu’on se soutient mutuellement et qu’on ne s’oublie pas. Ces détails qui semblent insignifiants mais qui veulent dire beaucoup. Ce bisou avant d’aller dormir. Ce café préparé le matin. Ces jouets rangés à leur place au réveil. Ce plat préparé pour le repas du midi au travail. Ce petit mot glissé dans le sac. Ce petit SMS en pause déjeuner. Ce câlin de victoire quand bébé est enfin couché.
Retrouvons-nous ce vendredi (16 février) pour en parler davantage lors d’une parlotte spéciale autour du couple !
L’amour n’est pas une flamme qui brille continuellement chaque jour, c’est une bougie qu’il faut rallumer tous les jours.
Linka, Bénévole au sein de l’association
8 idées cadeaux pour une jeune maman
1. Une gourde
Parce qu’on n’a pas toujours les mains libres quand on vient d’accoucher et que bébé a besoin de nos bras constamment, une gourde avec une paille est idéale. Facile à déplacer dans toutes les pièces sans avoir à se battre avec un bouchon qui doit être ouvert à deux mains. On comptera sur l’autre parent pour la remplir au besoin.
Quand on allaite on a aussi toujours très soif et pas toujours quelqu’un de disponible pour nous apporter un verre d’eau surtout quand le conjoint a repris le travail. Dans la nuit, cela évitera les aller-retour nocturnes (dont on se passerait bien) jusqu’à la cuisine pour aller chercher de l’eau. Autre avantage de la gourde, pas de risque de la casser si elle tombe.
C’est pour moi un indispensable de la jeune maman, qu’on allaite ou non, boire est essentiel et un besoin vital. Tellement accaparé par son enfant, les besoins primaires deviennent difficiles à assouvir et si on n’a pas un verre d’eau à porter de main, on a vite fait de se dire « c’est pas grave, je boirai plus tard ». Or, c’est une période où on a d’autant plus besoin de s’hydrater après tout le travail que notre corps a réalisé pendant la grossesse, l’accouchement et plus globalement dans la période du post-partum.
2. Une ou deux heures de ménage
Pas forcément besoin de faire appel à une société, vous pouvez proposer ce service vous-même, cela vous permettra en prime de passer un peu de temps à papoter si elle en a besoin. On pense toujours que ce dont la jeune maman a besoin c’est de faire garder son enfant et de prendre du temps pour elle. Pour certaines c’est important, mais pour la plupart, elles ne veulent pas s’éloigner une seconde de leur tout-petit, surtout les premiers temps. À l’inverse, ranger la pile de linge qui traîne est la dernière chose qu’elles ont envie de faire, pourtant elles aspirent à une maison rangée parce que pour certaines ça leur fait du bien. Elles peuvent aussi se sentir submerger par toutes les tâches ménagères à accomplir en plus de la charge qu’implique le fait de s’occuper d’un bébé. Certaines arriveront à mettre au second plan ces tâches mais d’autres s’obstineront à vouloir les faire quand même parce que c’est important pour elles de vivre dans un endroit rangé et propre. Pour leur venir en aide, déchargez-les de ces tâches chronophages qui ne sont pas prioritaires pendant cette période.
3. Un soin rebozo ou autre soin pour le corps
Après l’accouchement, on est immédiatement plongé dans la parentalité, on devient maman en une fraction de seconde quand la grossesse a pris jusqu’à 9 mois. On n’a même pas le temps de clôturer cette période, qu’on en entame déjà une nouvelle : la maternité. Le soin rebozo vient clôturer ces étapes de la grossesse et de l’accouchement. Rituel qui nous vient du Mexique, réalisé avec des foulards, il consiste à venir enserrer le bassin et ainsi refermer les portes qui se sont ouvertes pour laisser passer le bébé. Il est souvent accompagné d’un massage à quatre mains, d’un temps d’échange et de partage entre femmes. C’est la fin d’un moment, une page qui se tourne. Renseignez-vous auprès de la jeune maman avant pour savoir si elle apprécie les soins pour le corps et les massages. En pré-natal, il peut aussi s’agir d’une heure de massage, un moment qu’elle prend pour elle et son bébé avant que le quotidien ne soit chamboulé par cette nouvelle arrivée et qu’il soit peut-être plus difficile de trouver le temps de s’organiser pour aller se faire masser.
Vous pouvez contacter Marion ou Maud qui en réalisent à la demande en dehors de l’association.
4. Un bon cadeau pour aller chez le coiffeur
C’est souvent une des premières choses que l’on s’autorise à faire en post-partum. Ça ne prend pas trop de temps (si on n’a pas envie d’être séparé trop longtemps de son bébé), ça permet de se refaire une beauté quand on peut avoir du mal à accepter ce corps qui a tant travaillé avant et pendant l’accouchement et qui est en restructuration totale. Cela peut nous permettre de nous sentir plus en adéquation avec la femme que l’on est devenue ou notre ressenti du moment. Si pendant la grossesse on avait une chevelure de rêve, on constate parfois avec surprise que ce n’est plus le cas après. Certaines peuvent expérimenter des chutes de cheveux impressionnantes ou une perte de brillance et globalement des cheveux graissent rapidement (surtout quand on a pas le temps de les laver !). Les avoir constamment attachés pour faciliter le quotidien avec bébé n’aide pas non plus à leur entretien et certaines mamans éprouveront le besoin d’opter pour une coupe plus courte, plus adaptée à leur situation actuelle. Pour leur redonner tout leur éclat et leur accorder le soin qu’ils méritent quand on n’a pas le temps de le faire à la maison, aller chez le coiffeur peut-être un moment appréciable. Par ailleurs, à l’arrivée d’un enfant les priorités changent et le budget est souvent alloué à des activités ou besoins qui le concernent directement. Si le budget est serré, on ne prendra pas le temps d’aller chez le coiffeur pour soi, on préférera garder notre argent pour autre chose que l’on estime plus nécessaire à cet instant. En offrant une séance chez le coiffeur, vous déchargez la jeune maman d’une charge mentale financière.
5. Un bon cadeau HelloAsso pour un atelier de notre association
Au sein de notre association, nous proposons divers ateliers accessibles pendant la grossesse et après. Ces ateliers sont tout à fait compatibles avec un nouveau-né. Vous pouvez donc offrir un bon cadeau pour que la jeune maman se rende à l’atelier de son choix, au moment où elle le souhaite. Elle pourra ainsi apprendre à le porter en écharpe, obtenir des informations sur le sommeil, s’initier à la langue des signes, et bien d’autres encore. Pour celles qui ne reprennent pas le travail après le congé maternité, cela peut-être un moyen de sortir de chez soi et de voir du monde, pour ne pas se sentir trop seule car on sait combien ce sentiment peut vite nous envahir quand on s’occupe seule d’un enfant toute la journée.
Pour y accéder c’est par ici !
6. Des plats préparés à livrer/déposer
À l’arrivée d’un enfant, les tâches les plus anodines peuvent parfois se transformer en parcours du combattant. Pourtant manger reste parmi les besoins vitaux à assouvir tant pour le bébé que pour les parents. Ainsi, pour soulager de cette tâche nécessaire mais prenante, vous pouvez préparer vous-même de bons petits plats et les déposer chez les jeunes parents. Si vous n’avez pas le temps ou habitez loin, vous pouvez également faire livrer des boxes de nourriture mais je trouve personnellement que cela nécessite quand même un temps de préparation. Pour moi l’idéal reste donc un plat fait-maison déposé directement. Cela peut être aussi l’occasion de venir passer quelque temps avec les jeunes parents et de les aider pour des tâches ménagères, si c’est leur souhait.
7. Un album photo
Elle aura sans doute conservé des centaines de photo de son bébé mais pas le temps d’élaborer un album photo papier pour en garder un souvenir physique. Demandez-lui des photos et préparez-le vous-même ou offrez-lui un bon d’achat sur un site qui permet de réaliser des albums photos personnalisés. Privilégiez absolument un site qui possède une application pour qu’elle puisse le réaliser directement depuis son téléphone pendant une sieste-contact de bébé, par exemple.
8. Un livre
Je mettrais une réserve pour cette dernière idée. On n’a pas toujours l’énergie suffisante et l’envie de lire quand on vient d’accoucher, même si on peut avoir beaucoup de moments où on se trouve bloquer avec bébé sans rien pouvoir faire, lire demande quand même une certaine énergie et un minimum de concentration que l’on n’est pas toujours en mesure de donner. Toutefois, pour les amatrices de livres et celles qui souhaitent des suggestions dans le domaine de la maternité, voici mes recommandations :
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- Sur le sommeil : Dormir sans larmes, Rosa Jové ;
- Sur l’éducation en général : Serre-moi fort, comment élever vos enfants avec amour, Carlos Gonzalez ; J’ai tout essayé, Isabelle Filliosat ;
- Sur le post-partum : Nouvelle-mère, Cécile Doherty-Bigara ;
- Pour la reprise du travail : Maman, je veux pas que tu travailles, Isabelle et Anne-Marie Filliozat ;
- Pour l’allaitement : Manuel très illustré de l’aillaitement, Caroline Guillot.
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(Bonus) Une taie d’oreiller en soie
Pour celles qui comme moi, sont sujettes à l’eczéma, une taie d’oreiller en soie peut soulager les démangeaisons. La douceur et les propriétés de la soie peuvent aussi permettre de prendre soin de ses cheveux sans rien faire de plus que dormir (même si ce n’est pas 8h d’affilé !). On sait à quel point le sommeil est précieux quand on devient parent alors dormir sur un tissu agréable est d’autant plus appréciable quand les nuits sont courtes.
Cette liste non exhaustive est basée sur mon expérience et peut varier d’une femme à l’autre, n’hésitez donc pas à demander directement l’avis de la personne à laquelle vous souhaitez offrir un cadeau.
On pense toujours au premier mois après la naissance mais le post-partum ne se limite pas à ça. Le congé paternité étant maintenant de 28 jours, cela peut-être après ce premier mois que les choses se compliquent car la jeune maman peut se retrouver seule et se sentir submergée par la quantité de tâches à réaliser dans la journée en plus de devoir s’occuper de son enfant. Le meilleur cadeau que l’on puisse lui offrir c’est donc de la décharger des tâches qui ne sont pas liés à son enfant et lui apporter du soutien et de l’écoute si elle en a besoin. En tant que jeune maman, il est parfois difficile de demander de l’aide, on se sent fragile et vulnérable et on croit parfois à tort que l’on devrait être capable de tout faire seule. En réalité, c’est impossible.
Même si avant on arrivait à réaliser une quantité astronomique de tâches dans la même journée, aujourd’hui tout est différent ; une autre personne dépend entièrement de nous pour tous ses besoins, qui sont nombreux ! Soyez douce et bienveillante avec vous-même, demandez de l’aide ne fait pas de vous une personne fragile ou incapable, juste un être humain.
Vous souhaitant à tou.te.s de joyeuses fêtes de fin d’année !
Linka, Bénévole au sein de l’association
Une tétée avant la rentrée
Ou pourquoi continuer d’allaiter son enfant quand il rentre à l’école ?
Rappelons d’abord que le besoin de succion d’un enfant disparaît entre 3 et 7 ans selon les enfants[1]. Il est clair qu’avec nos rythmes de vie effrénés, nos emplois du temps bien remplis et un contexte professionnel qui n’est pas toujours compatible avec l’allaitement ou le tire-allaitement, l’âge du sevrage est devenu bien plus précoce.
Ceci étant dit, pour celles qui le souhaitent et qui ont surmonté d’éventuelles difficultés de démarrage de l’allaitement ou de reprise du travail, bien sûr, il est possible de continuer à allaiter son enfant alors qu’il rentre à l’école.
Pourtant, cela fait encore débat et ces enfants allaités à plus de 2 ou 3 ans peuvent être confrontés à des remarques de l’entourage, quand ce n’est pas la maman directement qui y est sujette. On peut comprendre que certaines peuvent vouloir arrêter l’allaitement de leur enfant pour le protéger des moqueries de leurs camarades de classe et préserver des souvenirs heureux. Ces moments précieux à deux doivent rester agréables et non devenir gênants. Il est important de prendre le temps de parler de cet allaitement avec l’enfant (qui est directement concerné), même s’il est encore jeune, cela peut-être une bonne occasion de lui apprendre que si on veut quelque chose, on peut continuer à le faire même si cela déplaît aux autres, tant que cela nous convient à nous. Cela peut aussi être un bon exercice pour celles d’entre nous qui ont du mal à affronter le regard des autres…
Un débat de même nature existe pour les enfants de plus de 2 ans qui ont encore une tétine. En réalité, la thématique est la même : un besoin de succion et d’être rassuré encore présent chez l’enfant. Tout comme certains enfants ne seront pas continents à 3 ans, d’autres auront besoin de téter, d’une tétine, d’un doudou ou de leur pouce alors qu’ils auront pris le chemin de l’école. C’est encore une montagne de nouvelles choses à découvrir et d’apprentissages, dans un lieu rempli de nouvelles têtes inconnues et tout ça sans papa et maman ! Autant de raisons qui peuvent nécessiter à notre petit bout de retrouver le sein de maman, sa tétine ou autre élément rassurant et réconfortant pour lui.
Alors premièrement, que ce soit clair, rien d’anormal, de mauvais, de tardif, de bébé ou autre… juste des enfants qui vivent selon leur rythme et à qui on laisse le temps.
Et maintenant que dire aux remarques que vous pourriez recevoir à ce sujet ? Le côté psy en moi vous dirait que si vous ressentez l’envie de répondre et de vous justifier c’est que cela vient toucher une corde sensible et un point à travailler chez vous, mais je ne suis pas (encore) psychologue et la santé mentale n’est pas le sujet. Si cela peut vous soulager ou rassurer, il y a pourtant des éléments (faits) à redire, à commencer par le fait que l’âge naturel auquel les enfants cessent de téter se situe entre 2 et 6 ans.
D’après une citation d’un article de Grandir autrement : « les enfants des premiers Homo étaient allaités dans des proportions significatives jusqu’ à environ trois ou quatre ans, ce qui a probablement joué un rôle dans l’apparition de traits spécifiques à la lignée humaine, tels que le développement du cerveau. » [2]
Cette pratique remonterait donc à nos origines et aurait permis à notre espèce de se développer.
Encore la tétine à 3 ans ?
Si le sevrage naturel se fait entre 2 et 6 ans, il en va de même pour la tétine qui est une reproduction du sein. Alors si certains tètent encore, pourquoi la tétine ferait débat ?
Allaiter un bébé ou un bambin, quelle différence ?
Il faut avoir conscience également que l’allaitement d’un enfant de plus de 2 ans est bien différent d’un allaitement dans la première année de vie de l’enfant. En effet, lors de la première année, le lait reste la source d’alimentation principale de l’enfant. Au-delà de tous les autres bénéfices que cela apporte à l’enfant (être rassuré, s’apaiser, faire un câlin à maman), dans la première année donner le sein reste important pour sa croissance. Plus tard, quand l’allaitement continue mais que le lait n’est plus la source d’alimentation principale, ce sont les autres avantages qui priment : être apaisé, rassuré, contre maman, recevoir les hormones qui aident à dormir, etc. Sans oublier le renforcement du système immunitaire, non négligeable dans le lieu propice à la propagation de microbes qu’est l’école réunissant des enfants qui préfèrent s’amuser à mettre les mains dans la bouche des autres plutôt que de respecter les gestes barrières. L’enfant grandissant, le rythme des tétées s’espacera davantage et à partir de deux ans, on pourra également poser des limites et refuser de donner le sein à certains moments (si cela convient à la maman et de préférence, avec une explication). Les tétées se font donc plus rares et peuvent parfois s’espacer de plusieurs jours ou être limitées à la tétée du soir. Ainsi, bon nombre de mamans qui continuent d’allaiter après 2 ans le font parfois dans l’ombre (ou la pénombre de la chambre de leur enfant le soir !).
Comme pour tout choix dans la parentalité, l’important est d’être en accord avec soi-même et les besoins de son enfant. Le reste, les autres, n’ont pas leur mot à dire sur vos choix de maternage.
N’oublions pas non plus que le lait produit de l’ocytocine et de la dopamine, hormones du plaisir par excellence, elles apportent satisfaction et apaisement et aident à faire baisser le stress de l’enfant ET de la maman, alors pourquoi s’en priver une veille de rentrée ?
Bonne rentrée à tou.te.s !
Sources :
[1] https://www.lllfrance.org/vous-informer/fonds-documentaire/allaiter-aujourd-hui-extraits/1712-aa-98-allaiter-un-enfant-de-plus-de-3-ans?fbclid=IwAR3J2wNVdR55mzFam0MSfIOKwCp0sge9REDX_8z3zw0C84sKLZ4Qs-U06sI
[2] https://grandirautrement.com/allaitement-long-et-humanisation/
Linka, Bénévole au sein de l’association
Forum des associations 2023
Notre association était présente au forum des associations qui s’est tenue à Evreux les 8, 9 et 10 septembre. Une grande première pour notre association !
Nous avons pu rencontrer d’éventuel(le)s futur(e)s adhérent(e)s et vu des possibilités de collaborations ou de partenariats !
Si vous arrivez ici suite à ce week-end, bienvenue ! Nous espérons vous rencontrer prochainement lors de nos ateliers ou aux parlottes.
Malgré la chaleur (d’où la présence du ventilateur), nous étions disponibles pour vous accueillir et vous présenter l’association pendant ces trois jours.
N’hésitez pas à nous rejoindre sur les réseaux pour être informé(e) des nouveautés et des plannings en temps réel !
À très bientôt !